Pollution

Mercredi matin, le personnel technique de la mairie et de la Réserve naturelle, était mobilisé pour nettoyer les côtes, en différents secteurs de l’île.
De nombreuses galettes s’étaient échouées à la Pointe des Chats (où sept sacs ont été récoltés) et à Port-Melun (arrivage important depuis plusieurs jours). « Nous avons nettoyé essentiellement le secteur qui va des Grands-Sables à Port-Mélite, puis la côte d’Héno », dit Daniel Ribouchon, le responsable des services techniques.
Hier (…)

Près de cinq millions d’euros ont été attribués par le conseil général lors de sa dernière commission permanente le 8 novembre dont deux pour des opérations relatives au cadre de vie. Le département, entre autres, soutient le programme régional de lutte contre les marées vertes et prend en charge 30 % du montant des travaux d’aménagement de pistes cyclables.
Les marées vertes ne sont plus l’apanage de la côte nord de la Bretagne. Le Morbihan en sait quelque chose. La commission permanente (…)

La dissémination à travers le territoire d’usines chimiques potentiellement dangereuses éveille des craintes légitimes… et nourrit des ambitions politiques.
L’onde de choc du drame de Toulouse - qui a causé 29 morts et 2 500 blessés le vendredi 21 septembre - n’a pas fini de se propager. Elle secoue l’ensemble de la population française qui se demande d’un coup si chacun ne se trouve pas exposé au terrible risque d’un accident industriel. Les écologistes, habitués au rôle de Cassandre, ont (…)

C’était le scénario le plus redouté par les secouristes : le pétrolier " Prestige " s’est brisé, ce matin, au large de la Galice.
Vers 8h00, le navire a cédé. Il transporte encore 70.000 tonnes de fioul. Une catastrophe écologique majeure paraît à présent inévitable.
Le pétrolier transportait 77.000 tonnes de fioul lorsqu’il a quitté la Lettonie, la semaine dernière.
Il a déjà déversé dans l’océan environ 4.000 tonnes, dont une partie a souillé une quarantaine de km des côtes (…)

Situation rétablie sur la rivière Etel et la rade de Lorient. La pêche, le ramassage, mais aussi l’expédition et la mise en marché des coquillages sont de nouveau autorisés dans ces deux zones.
Le Télégramme 18/07/2007

Le Fipol rappelle aux victimes de la marée noire de l’’Erika’ que leurs droits à indemnisation qu’elles ont jusqu’au 12 décembre pour déposer une demande d’indemnisation.
Leurs droits s’éteindront à défaut d’une action en justice engagée dans les trois ans après le naufrage, à la fois contre le propriétaire de l’’Erika’ et/ou son assureur responsabilité civile et contre le Fipol.
Au 2 septembre, le Fipol indique avoir reçu 6 271 demandes d’indemnisation, dont 91 à 92 % ont été (…)

RENNES, 13 sept (AFP) - Le Fipol a conseillé vendredi aux victimes de la marée noire de l’Erika avec lesquelles il ne parviendrait pas à un accord amiable avant le 12 décembre de "consulter leur avocat" pour ne pas perdre leurs droits à l’indemnisation.
Les victimes du sinistre disposent d’un délai de trois ans, qui court à compter de la date du dommage subi, pour parvenir à un accord amiable, rappelle le Fonds d’indemnisation pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures (…)

Dan ar Braz, Gilles Servat et Alan Stivell ont répondu positivement à l’initiative du plus breton des artistes galiciens. Les trois poids lourds armoricains seront aux côtés de Carlos Nuñez, à Vigo, vendredi, pour un concert de solidarité avec les populations touchées par la marée noire du Prestige.
Lorsqu’il est arrivé en Bretagne, il y a un mois pour débuter sa tournée, Carlos Nuñez a été très surpris par la solidarité des gens avec les Galiciens confrontés à la pollution consécutive au (…)

Le président de la Confédération maritime, Alain Malardé, a été interpellé , hier, par la police espagnole après avoir « envahi » les locaux du Fidac, équivalent espagnol du Fonds d’indemnisation pour les dommages dus à la pollution par les hydrocarbures (Fipol).
M. Malardé, muni d’un gant et d un seau de fioul ramassé dans le port de Muxia, accompagné d’un autre membre du syndicat, a badigeonné un mur avant d’être délogé puis interrogé par la police locale .
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En mars 2000 et décembre 2002, M. Lambion signait deux quittances pour une indemnisation globale portant sur 1.357 €. Il avait ensuite contesté la validité de ces quittances devant le tribunal de commerce de Rennes en considérant qu’il les avait signées « sous la contrainte économique ».
Le Télégramme 10/05/2006