Festival

Durant les vacances, l’équipe du Festival du film insulaire a fait appel à Henri Pondard, « le grand manitou du multimédia », pour projeter à l’aide d’un vidéo projecteur les films primés de l’édition 2002.
Une centaine de spectateurs, réunis à L’Esméralda, ont (re) découvert la production des cartophiles « Cartes de Groix » puis « L’Homme des rochers de Palawan » (Philippines), premier prix du festival, « Deux gendarmes dans le Pacifique » (Archipel des Tuamotu), prix Lucien Kimitete, et (…)

Le décor en bois a été démonté et le stock revendu aux Groisillons comme bois de chauffage, afin de payer le coût du transport des tonnes de billes. En somme, de l’art éphémère que l’on consomme avant qu’il ne se consume.
Ouest-France 31/08/2005

Le 3e festival international du film insulaire est ouvert depuis hier à
Groix « Bienvenue ! » C’est en français, puis en créole de la Réunion et en créole
de l’île Maurice (nuance !) que s’est ouvert le 3e festival international du
film insulaire de Groix.
Groix est une île, qu’on se le dise une bonne fois
pour toutes. Et c’est une nouvelle fois au port de Port-Tudy que le même
film, à peu de choses près, s’est joué. A la façon d’un remake, le courrier
de Lorient à Groix est arrivé, (…)

Une programmation de qualité, des invités exceptionnels et des débats pertinents : d’années en années, le Festival international du film insulaire de Groix se forge une sacrée réputation. Les réalisateurs des documentaires en compétition ne sont pas étrangers à ce succès d’estime.
Le Télégramme 26/08/2006

Le vingt-cinquième Festival de cinéma de Douarnenez ouvre ses portes aujourd’hui. Cette édition, consacrée aux peuples du monde face à la mondialisation, fait aussi la part belle aux images fixes. Parmi les expositions qu’elle propose au public figure le travail convergeant de Pierre-Yves Marzin et de Mat Jacob. Deux jeunes photographes dont le travail éclaire le combat des Indiens du Chipas pour leur émancipation et leur dignité.
Plan fixe. Le noir et blanc donne encore plus de force au (…)

Un peu plus de 11.000 entrées payantes, un équilibre financier retrouvé, un
palmarès exotiqu : les organisateurs du festival affichaient hier une
satisfaction non dissimulée.
« Pari réussi, beaucoup de professionnalisme, ambiance conviviale... » Eric
Régénermel, maire de Groix n’avait plus de mots hier pour qualifier le
succès de cette troisième édition.
(...)
© Le Télégramme 01/09/2003

UN MOMENT D’AMITIE VRAIE
Chacun garde en son coeur une île idéale, refuge intime à l’abri d’un monde trop vaste ou trop complexe. Mais l’âme des îles existe-t-elle encore ? Sur une planète où les intérêts financiers sont mis en tête de gondole du supermarché mondial, la petite boutique des îles attire-t-elle encore le chaland ?
Les insulaires ont su garder ce qui fascine les continentaux : l’échelle humaine au-delà de laquelle on perd de vue les conséquences de ses paroles, de ses (…)

Né sur l’Île de Groix il y a 4 ans, ce jeune Festival a d’ores et déjà gagné un pari : faire converger vers cette petite île bretonne du Morbihan la production cinématographique et audiovisuelle d’îles du monde entier.
Cette année encore, plus de 250 documentaires traitant de l’insularité sont arrivés des endroits les plus reculés de la planète mer.
De la Chine aux Lofoten, de la Russie à l’île de Pâques, de Punta Cana à la Croatie en passant les Semblas pour revenir à Molène, la (…)

" Jamais je n’avais voyagé aussi loin ! " s’émeut Henriette, toute menue entre les deux colosses Wallisiens qui viennent de danser pour lui fêter son 87e anniversaire. Pourtant aujourd’hui, comme depuis toujours, elle n’a pas quitté le pas de sa porte sur l’île de Groix.
Une réaction parmi tant d’autres qui donne le ton, la chaleur, la convivialité de la première édition du Festival International du Film Insulaire qui s’est déroulé fin août, début septembre 2001 sur l’île de Groix, en (…)

« Je suis ravi que vous soyez venus aussi nombreux à cette projection. Ce film ne bénéficie pas d’un vaste circuit de distribution mais il est toujours bien accueilli car il raconte l’histoire d’un village corse qui ne veut pas mourir ».
Le Télégramme 24/08/2007