Les personnels psychiatriques manifestent pour réclamer « un renouveau des soins psychiques ». Les manifestants soulignent un manque de moyens, qui se traduit par des sous-effectifs et un trop faible temps accordé à chaque patient. « Avant, les hôpitaux proposaient beaucoup d’activités thérapeutiques. Maintenant on enferme, puis on met à la rue. Seule la logique comptable règne. »
La vérité est plus crue, samedi prochain, l’Armée sera dans les rues, aux côtés de la police, pour protéger des "bâtiments officiels" ou des "points fixes". Comme l’expliquait le chercheur Elie Tenenbaum "les militaires sont formés pour tuer. Leur métier, c’est le combat létal". De la démocratie représentative telle que nous la connaissons, nous basculons dans autre chose, un danger sans nom. Certains l’appellent effondrement. D’autres lui ont inventé le nom terrifiant, et mutant, de Grand remplacement. On peut aussi le voir se profiler sous le nom familier du "dispositif Sentinelle"
L’accès au port est réglementé : la rue Francis-Stéphant, qui dessert le port, est interdite à la circulation durant deux semaines ; une circulation alternée a été mise en place dans la rue du Général-De-Gaulle. Des feux tricolores régulent le trafic. Le maire a fait voter une enveloppe de 520 000 € supplémentaire pour rénover certains secteurs oubliés. « On s’en tiendra là , car la facture s’élève à six M€ entièrement à charge pour la commune », dit le maire.
Élèves, enseignants, habitants et Andrée Vielvoye, maire d’ÃŽle-d’Houat, se sont mobilisés pour sauvegarder le poste de secrétaire au collège
Comme sur les autres Îles du Ponant ( ???)
« On a d’abord étudié des affiches ou des dessins de presse extraits de Courrier International ou de Charlie Hebdo. On a aussi abordé la question de la liberté de la presse. Pouvons-nous tout dire ? Pouvons-nous tout dessiner ? Qu’est-ce que la liberté d’expression ? », dit Marion Bonjour, graphiste. Les thèmes retenus : le changement climatique, l’accueil des réfugiés, le féminisme, les pesticides dans l’environnement, les relations garçons-filles, les injustices ».
En embastillant un jeune homme qui joue du tambour, en laissant votre police écraser à coups de botte les lunettes d’un interpellé, ou violenter des Gilets Jaunes en fauteuil roulant – en fauteuil roulant ! –, vous fabriquez des images pour l’histoire, et vous appelez vous-même le grand vent de l’histoire. Vous et vos semblables, qui vous en croyez la pointe avancée, il se pourrait que vous finissiez balayés par elle
Le gouvernement doit mettre en Å“uvre une panoplie répressive au parfum orwellien, alors que des réponses politiques appropriées et rapides auraient sans doute pu apaiser la colère. Certaines dispositions, en tout cas, posent question. L’arrestation préventive, tout comme l’interdiction de manifester, peuvent donner lieu à des excès de zèle et, surtout, à une extension indéfinie, qui peut s’appliquer à l’avenir à des manifs syndicales traditionnelles.
"Quand Mme Buzyn dit qu’elle supprime des lits pour améliorer la qualité des soins, quand Mme Pénicaud dit que le démantèlement du Code du travail étend les garanties des salariés, quand Mme Vidal explique l’augmentation des droits d’inscription pour les étudiants étrangers par un souci d’équité financière, quand M. Macron présente la loi sur les fake news comme un progrès de la liberté de la presse, la loi anti-casseurs comme une protection du droit de manifester, on est dans la destruction du langage et du sens même des mots."
Frédéric Lordon dans @ sur images (D Schneiderman)
« Nous avons rencontré M. Yvon pour lui présenter ce projet de santé qui avait pour objectif d’améliorer l’accès aux soins, la prise en charge des patients, la formation, l’échange de données entre praticiens et la télémédecine notamment » dit Frédéric Delange, le président de l’APSIG qui était présent vendredi avec le docteur Faustine Saigot, également à l’origine du projet de santé. » La livraison est prévue pour le premier trimestre 2020.
On estime que les «  sans religion  » représentent désormais 50 à 60% des Français. L’augmentation serait inexorable  Les « sans religion » constituent aujourd’hui une population plus jeune, mais aussi plus masculine, plus diplômée et plus à gauche que les catholiques.
Si la situation est difficile, les représentants de l’Etat veulent croire que la nouvelle loi viendra changer les choses, si les citoyens savent être patients. « Il faut lui laisser le temps de faire ses effets », a assuré le directeur de l’ARS des Pays de la Loire, s. Pour lui, dès 2022, les problèmes seront réduits. Mais peut-on être patient quand on est malade et qu’on n’a pas de médecin, aujourd’hui ?
Les lignes de fractures apparaissent désormais au grand jour au PS depuis qu’Emilie Derrian-Chatard et Bruno Blanchard se sont lancés séparément dans la course aux municipales. RÉGIS NESCOP le Télégramme 13/03/19
Laurent Tonnerre (LREM) considère Emilie Derrian-Chatard comme une alliée (...)
Nous acceptons des conditions de travail contraignantes : beaucoup de route, de bateau, des nuits loin de notre domicile pour les enseignants qui travaillent sur deux Îles. Notre implication sur ces territoires dépasse le cadre de notre travail. Qui peut assurer la permanence pendant les déplacements du chef d’établissement ou du gestionnaire sur les Îles ? Ce poste est central et essentiel pour le traitement et la diffusion des informations aux personnels et usagers ».
Les nappes de pétrole du "Grande America" "pourraient toucher le littoral français vers dimanche soir ou lundi" selon François de Rugy qui a demandé au préfet maritime de coordonner l’action avec les préfets des départements concernés, dans un premier temps ceux de Gironde et de Charente-Maritime, mais peut-être faudra-t-il étendre la zone de protection à terre
Renseigner, informer, accompagner, redonner confiance : telles sont les nombreuses missions des agents de la Maison des services au public. Pour seconder Yann Roland, référent informatique et réseau pour la mairie, le CCAS vient de recruter Laetitia Claude en tant qu’animatrice-agent d’accueil. La MSAP reçoit environ 2 000 personnes par an. Contact msap@groix.fr.
C’est l’histoire d’un président qui raconte le contraire de ce que lui résument ses services de renseignement. Le patron de la DGSI reconnaissait qu’« à aucun moment les groupes ultras n’ont réussi à prendre le leadership sur ce mouvement (GiletJaunes) » « L’ultragauche s’est impliquée de manière limitée dans un mouvement perçu comme populiste et réactionnaire », écrit-on à la DGSI. Par ailleurs, une vague d’interpellations dans leurs rangs début décembre a calmé les ardeurs des plus velléitaires des militants ultranationalistes.
C’est un camouflet sévère, certes, pour les victimes du Levothyrox, mais surtout pour certains cabinets d’avocats qui avaient monté une énorme opération pour regrouper des victimes. Profitant de la possibilité désormais ouverte d’actions de groupes, le principal avocat des plaignants Christophe Leguevaques. via une plateforme électronique, a rassemblé des milliers de dossiers, moyennant finance, promettant aux victimes une indemnisation importante.
le 31 mai 1871, Edmond de Goncourt dans son Journal : « La solution a été brutale. Ç’a été de la force pure. La solution a redonné confiance à l’armée qui a appris, dans le sang des communeux, qu’elle était encore capable de se battre. Enfin la saignée a été une saignée à blanc ; et les saignées comme celle-ci, en tuant la partie bataillante d’une population, ajournent d’une conscription la nouvelle révolution. C’est vingt ans de repos que l’ancienne société a devant elle, si le pouvoir ose tout ce qu’il peut oser en ce moment. » (...)
Pas une seule fois les conséquences de la concurrence sur la valeur du travail ne sont évoquées. La question du pouvoir d’achat n’est conçue que sous deux rapports : celui des mesures fiscales, autrement dit des baisses d’impôts, meilleur gage d’un futur désengagement de l’État dans l’économie, et celui de la concurrence, autrement dit de la baisse des prix, qui s’obtient par une pression constante sur les salaires.
Méconnaissant ce droit qu’ils ont de contraindre l’Etat à leur fournir un hébergement, les sans abri ne s’en saisissent pas. Bien moins utilisé que le Dalo, le Daho ne représente ainsi que 5% des recours. 10 081 recours ont été déposés en 2017, un chiffre bien maigre au regard des 140 000 SDF recensés lors du dernier décompte de l’Insee en 2012.
« On a voulu souligner que les solutions passent aussi par les collectivités locales », déclare M-A Carlotti