Le préfet a pris plusieurs mesures de prolongation de restriction des déplacements dans le département. Cette interdiction ne concerne pas l’hébergement au titre du domicile régulier des personnes qui y vivent, ni aux locations et aux hébergements consentis aux personnels soignants et aux agents participant directement à la gestion de crise.
Les agents en autorisation spéciale d’absence seront amenés à prendre cinq jours de RTT entre le 16 mars 2020 et le 16 avril 2020 et cinq autres jours de RTT entre le 17 avril 2020 et la date de reprise de leur service dans des conditions normales. Pour ceux qui ne disposent pas de jours de RTT ou pas d’un nombre suffisant, ces jours seront décomptés sur les congés annuels, dans la limite de six jours
"Nous avons décidé de proposer des rédactions de textes à distance et de les regrouper sur un site web pour les partager. Une fois par semaine, un thème est proposé. L’écrivain se donne 20 minutes pour rédiger. Puis chacun enregistre son texte sur son téléphone et l’expédie par mail". Il est toujours possible de contacter Anne pour se procurer les livres en stock. https://virusdelecriture.wixsite.com/atelier
« On est dans l’inconnu. Assurer l’édition, mais dans quelles conditions réglementaires et sanitaires, avec quels moyens financiers, humains et pour quel public ? », pose d’emblée Sylvain Marmugi qui sait déjà l’énergie et l’abnégation qu’impose l’organisation du festival à Groix. « Mais l’idée n’est pas d’apporter une réponse trop tardive, ce qui mettrait en difficulté nos prestataires et les artistes. Le bon sens devra l’emporter ».
La région va devoir repenser son maillage aéroportuaire, a prévenu la Cour des comptes. En Bretagne, les collectivités publiques contribuent au financement du transport aérien. Pour 45 M€ entre 2012 et 2017. La Cour des comptes estime que la situation bretonne n’est “plus soutenable†et juge coûteux et inefficace le statut d’obligation de service public. ( Bretons n°163 d’avril 2020)
« Comment se fait-il que ces personnes qui ne sont pas des résidents permanents, aient pu se procurer des billets auprès de la compagnie Océane », dit le maire. Les professionnels de santé rappellent qu’une trentaine de cas probables de Covid-19 sont suivis régulièrement à domicile et qu’il est absolument nécessaire de poursuivre les mesures barrières et le confinement conseillé pour ralentir l’épidémie.
La démarche revêt un caractère éminemment social, voire politique. L’équipe du centre est salariée. Les généralistes, aux 35 heures, ont consenti une rémunération inférieure à la moyenne pour assurer la viabilité du modèle économique. "De nombreux déterminants sociaux ont un impact sur la santé " , estime le Dr Bastin. Le centre comptera à terme un travailleur social, une psychologue. L’équipe recherche aussi un orthophoniste.
« Il y a une froide détermination chez tous les soignants à ne plus accepter l’inacceptable »
On continue de manquer de matériels. Les gens viennent bosser avec leur masque de plongée Décathlon parce qu’il n’y a pas de lunettes de protection, nos surblouses sont des sortes de bâches en plastique de fabrication locale qu’on doit garder une journée entière, on va prochainement utiliser des dons de tenues de taekwondo qui vont remplacer nos pyjamas de bloc… La débrouille totale dans un climat de rationnement qui s’amplifie. (...)
L’histoire montre que les systèmes de santé ne peuvent connaÎtre des réformes d’ampleur que dans des conjonctures sociales et politiques critiques. Le caractère inédit de la pandémie de Covid-19 peut fournir une telle occasion. En attendant, on ne peut que répéter les mots du docteur Salachas, neurologue, à l’adresse de M. Macron, le 27 février dernier : " Monsieur le président, vous pouvez compter sur nous. L’inverse reste à prouver. »
L’UL CGT de de Lorient a mis en place une permanence téléphonique. ï »¿« Nous informons les salariés qui ne sont pas toujours au fait du droit social. On nous remonte de grandes différences, d’une grande surface à l’autre, d’une grande enseigne à la petite épicerie dans les précautions mises en place. Il y a une forme de pression. Quand les conditions ne permettent pas de protéger les salariés, il faut faire une demande de chômage partiel. » Tél. 02 52 33 18 49
De nombreux Parisiens ayant fui la capitale au moment du confinement sont aujourd’hui atteints du Covid-19. Et comme le craignait un certain nombre de médecins, de nombreux "Parisiens" arrivés notamment sur l’Ile de Ré sont aujourd’hui atteints du Covid-19 et pris en charge en réanimation. Le service de réanimation du CH de La Rochelle est actuellement saturé.
Un centre de loisirs virtuel a été mis en ligne par la Cnaf sur le site monenfant.fr (https://monenfant.fr/). Il propose chaque jour aux parents de nouvelles activités ludiques et éducatives à faire avec les enfants et avec les adolescents, notamment ceux en situation de handicap (des activités manuelles, artistiques, musicales, scientifiques ainsi que des jeux sportifs, des recettes de cuisine, des contes…).
En coulisses, élus et hauts fonctionnaires ne cachent plus leur sévérité à l’égard de ces agences régionales. « Elles auront démontré leur incurie On a l’impression qu’il existe une concurrence entre services de l’Etat, dont finissent par pâtir les administrés. Il faudra reconsidérer l’ensemble du système. L’hôpital public, le secteur privé et les libéraux ne pourront pas rester trois mondes séparés.
«  Aujourd’hui la Chine est l’atelier du monde pour les masques et le rôle de la diplomatie française c’est d’être le porte-parole, l’acteur sur le terrain des commandes qu’organise le ministère de la santé  », a relevé JYs Le Drian. Interrogé sur le délai de livraison des masques de protection, le ministre Jean-Yves Le Drian a précisé lundi sur BFMTV, que les commandes seraient livrées «  d’ici la fin du mois de juin  ».
Les opérateurs pourront, en toute discrétion, augmenter la puissance d’antennes, couvrir à peu de frais les zones blanches ou grises, voire anticiper le déploiement de la 5G », analysent les associations, qui demandent de « revoir l’ordonnance pour encadrer les conditions dans lesquelles ces dérogations pourront être actionnées et supprimer la possibilité de pérennisation post-crise.
« Je me suis dit : tout le monde doit être en train de chercher de quoi s’occuper, sourit V. Fromentin, qui a lancé l’idée de fabriquer de grands personnages en matériaux de récupération pour orner les villages de l’Île. L’idée, c’est de profiter de ce moment pour créer et donner vie à nos rues. À la fin du confinement, nous pourrons faire le tour des villages pour découvrir les Å“uvres de chacun… »
Les données actuelles sont fournies par l’ARS Bretagne et le centre hospitalier CHBI-CHBA pour le secteur hospitalier uniquement, et sans indication du secteur géographique. En tant qu’élu, je ne suis pas informé de la situation précise sur Belle-Ile. J’ai interrogé l’ARS pour connaÎtre les modalités d’une transparence parfaite de la situation. Car j’estime que ce n’est pas uniquement un sujet sanitaire, il est sociétal, social et politique.
Deux trains médicalisés, transportant une quarantaine de patients atteints du Covid-19, sont attendus en Bretagne, ce dimanche. Douze patients seront transférés au GHBS. Son service de réanimation, d’une capacité de dix lits, s’est vu réaffecter six lits de soins intensifs, avec la possibilité de récupérer huit autres de ses salles de réveil, soit un potentiel de 24 lits dont seize réservés aux malades Covid-19.