« C’est la criminalisation des idées politiques de gauche qui est en jeu dans ce procès. » En soutien aux inculpé·es du procès dit de « l’ultragauche », un ensemble d’ intellectuel·les, artistes, militant·es, journalistes dénonce « l’assimilation des militant·es de gauche à des terroristes, et la criminalisation des personnes engagées pour plus de justice, de solidarité et d’écologie ».
Le Monde, Politis, Telerama - pour ne citer qu’eux - évoquent pêle-mêle les « contradictions fondamentales du dossier », (..)
Lire la suite - commenter