Le taux de résidences secondaires, habitées « une poignée de semaines dans l’année », (chiffres de l’Insee en 2018) est de « 52,4 % » à Groix, L’UDB propose le statut de résident. « Ce dispositif consisterait à n’autoriser l’achat d’une résidence qu’après avoir séjourné un an sur le territoire à l’année. Il ne s’agit pasde décider qui est Breton ou qui ne l’est pas. Mais de privilégier ceux qui vivent à l’année en Bretagne. »
Depuis de nombreuses années, je suis le témoin indigné de la casse du service public hospitalier en général et de celui de psychiatrie en particulier.
Depuis le début de la pandémie, je suis le témoin indigné de la démonstration par la situation réelle des effets de la casse en question sur l’hôpital.
Depuis que la pandémie fait moins parler d’elle, je suis le témoin indigné des effets cumulés de la pandémie et de la déconstruction du service public hospitalier.
En effet, les soignants de tous les statuts professionnels fuient en masse le service public (...)
Du côté de la grande distribution alimentaire, le phénomène met aujourd’hui en péril le métier de caissier et caissière. « A terme, nous sommes condamnées à disparaître, déplore la secrétaire fédérale de la CGT commerce et services. On nous parle de reconversion mais les caissières ne vont pas toutes devenir “conseillères de vente” (...)
L’écart de salaires entre les femmes et les hommes, loin de se résorber, continue de se creuser. La fonction publique n’échappe pas à ce triste constat. En 2021, le salaire des femmes est inférieur en moyenne de 16,5 % à celui des hommes. Parmi les 10 % des salariés les moins rémunérés dans la fonction publique , 70 % sont des femmes. » (...)
Monsieur le président Macron,
Je vous cite :
« Nous n’avons pas de politique à avoir pour la jeunesse. » « J’ai vécu, quand j’étais adolescent, avec environ 1000 euros par mois. Je sais ce que c’est que de boucler une fin de mois difficile. »
« Je ne vais pas interdire Uber et les VTC. Ce serait les renvoyer vendre de la drogue à Stains. »
Et finalement, deux ans plus tard, en mars 2022, on arrivera à quoi ?
.../...Pour commencer : l’hôpital. Ses qualités et ses défauts. Le principal défaut étant l’acceptation permanente de travailler dans des conditions matérielles et humaines de plus en plus dégradées. Aujourd’hui pour espérer que quelque chose bouge, il faut être dans un axe prioritaire de la direction et que les étoiles s’alignent. Les caisses sont vides, et j’ai honte quand je vois certains équipements sur lesquels je travaille (...)
Vieillir chez soi plutôt qu’en établissement est un idéal souvent exprimé dans les enquêtes "mais se posent alors les questions de l’adaptation des logements et des soins en cas de perte d’autonomie", insistent témoins et spécialistes. Le gouvernement français a annoncé lundi le lancement d’un projet pour la création d’ici 2026 de 500 habitats « inclusifs » pour personnes âgées au cœur des petites villes.
Le territoire national est à UTC +2 (c’est-à-dire deux heures de plus que l’universal time coordinated, l’heure de référence internationale) en été et UTC +1 en hiver.
Les chronobiologistes mettent régulièrement en garde l’opinion contre une trop grande désynchronisation entre lumière du jour et heure de l’horloge. "En imposant à l’horloge biologique un rythme qui n’est pas celui de la nature, on va exercer un stress sur l’ensemble des organes, résume J Adrien de l’Inserm. On a donc intérêt à ce que l’heure légale, soit la plus proche possible de l’heure solaire." (...)
Y. Freund : « Le malaise n’est pas apparu avec la crise sanitaire. Si les gens fuient l’hôpital public, c’est parce qu’ils se sont laissés ébouillanter par les pouvoirs publics pendant des années et qu’ils abandonnent avant d’y laisser toute leur peau. Ils le font maintenant parce qu’ils ne voulaient pas abandonner leurs collègues en pleine tempête Covid. Là, plus rien ne les retient, ils voient bien que rien n’est fait pour sauver l’hôpital public. »
P. Pelloux : "Quelque chose a été loupé. La crise monstrueuse que l’on connaît ne date pas d’hier mais d’avant-hier. (...)
Le décalage semble considérable entre la vision du gouvernement et celle, sur le terrain, des élus. "Les ARS ont une approche très administrative et doivent encore apprendre à parler avec les élus locaux. Il faut que les communes et les intercommunalités aient une compétence sur le pilotage local de la santé ».
Tout au long de la crise, les maires ont en effet été en première ligne pour gérer la situation. Faut-il rappeler qu’au tout début de la campagne de vaccination, le gouvernement tablait sur 600 centres de vaccination – soit six par département – et qu’il a fallu l’action résolue des maires pour que le nombre passe à plus de 1500 dès la fin février ?
Les auteurs de la tribune rappellent les relations compliquées qui se sont mises en place entre les communes, d’un côté, et les Agences régionales de santé (...)
Le présent diagnostic a pour objet d’informer la commune de GROIX
sur l’état général et l’histoire du bâtiment anciennement abri du canot de
sauvetage en mer et de ses annexes (extension et appentis technique).
Le projet alternatif :
restaurer l’ancienne Maison des Douanes, élément du patrimoine maritime qui a conservé ses caractéristiques d’origine et ainsi affirmer sa qualité de témoin historique
valoriser les abords (jardin et parvis sur rue)
créer une extension dans le jardin (invisible ou presque depuis la rue) qui serait en communication avec la Maison (...)
Les interventions en faveur d’une meilleure accessibilité se feront par opportunité dans le cadre de travaux sur les ports, lors du renouvellement des délégations de service public et lors du renouvellement de bateaux.
La Région Bretagne est propriétaire de 12 gares maritimes accueillant du public.
Des études devront être menées afin d’analyser l’accès aux guichets, (...)
Alors que les déserts "médicaux" s’étendent, 43 députés LREM appellent le ministre de la Santé à explorer une autre "voie" : la limitation de la liberté d’installation. Ces élus de la majorité avancent une proposition : définir, "à l’échelle des intercommunalités", des zones "surdotées avec interdiction de nouvelle installation dessus, comme cela existe déjà chez les kinésithérapeutes ou infirmiers". Ils appellent le ministre à se "placer du point de vue des patients et de l’opinion publique".
.../...Plusieurs leviers ont également été levés par l’ARS pour faciliter la recherche. D’abord, elle permet dorénavant la cohabitation de médecins salariés et libéraux au sein de la maison de santé. Une mesure dérogatoire, précise le président de l’Aspig. Par ailleurs, les îles bretonnes ont toutes été classées en zones fragiles, ainsi, “les aides à l’installation et tous les leviers accessibles, tant pour les libéraux que pour les centres de santé, sont possibles (contrat de solidarité territoriale avec une majoration d’acte, contrat d’engagement de service public, etc.)”, assure le médecin référent de l’ARS Bretagne.
Ce mardi 12 octobre a également été retenue une consultante à la suite d’un appel d’offres (...)
Le maire a partagé avec l’assistance les informations sur le manque de médecins. « Il y a des candidats, mais aujourd’hui l’obstacle, c’est Kersanté », rétorque Jean-Claude Jaillette élu d’opposition. « Il faut peut-être que la municipalité soutienne davantage l’Association des personnels de santé de l’île de Groix en prenant à sa charge l’aide administrative », propose V Da Silva.
La réunion commence pianissimo, l’opposition semblant apprécier les décisions du maire notamment à propos du VVF et de la commission mise en place suite à la proposition de la Caisse des Dépôts de financer une étude sur un avenir possible.
L’application de la décision gouvernementale de fixer à 1 € le prix de la cantine pour le premier niveau de quotient familial et la subvention qui va avec ne peut susciter que l’approbation. (...)
Beaucoup de crédits budgétaires réservés au financement des cessions ne sont pas utilisés. Faute de temps surtout, faute d’envie peut-être, faute de connaissance des dispositifs et des offres dans certains territoires. Le retour des formations suivies par les collègues doit pourtant inciter ceux qui en sont plus éloignés à s’y risquer. Ils en repartiront riches de connaissances et de partage de problèmes et surtout de solutions.