L’Europe, déjà gangrenée (en Italie, en Hongrie), est bien sous la menace d’une forte poussée national-populiste, petite cousine de celles qui ont fait vaciller d’autres démocraties à travers la planète. On pense bien sûr aux Etats-Unis de Trump, ou au Brésil de Jair Bolsonaro. En France, ce nationalisme rance et mortifère, d’une pauvreté programmatique confondante, porteur d’aucune solution crédible, caracole en tête dans les enquêtes d’opinion.
Paul Quinio Libération 7/06/24
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