Pêche

Hier, vers 4 h 15, le Santimax a heurté le rocher de la Potée de Beurre. Malgré les appels sur la radio des chalutiers le navire n’a pas redressé sa trajectoire. « Le canot SNSM de Groix mis en alerte n’a pas eu à intervenir pour déloger le chalutier, qui a pu se dégager par ses propres moyens.
Le télégramme

« Nous ne voulons pas être des assistés, rappelle, avec force, Liliane Carriou. Nous voulons simplement vivre de notre métier. Mais si on veut nous supprimer, il faut nous le dire tout de suite ! »
Charles JOSSE. Ouest-France

Par Alexandre de Roquefeuil
Association Les Amis du Biche
Bulletin d’informations, septembre 2006

Comme chaque année, j’ai réuni une poignée d’amis à la recherche du thon Germon. Cinq septembre 2006, c’est un mardi, beau temps belle mer, Horus met le cap sur les Acores, longeant la côte de Groix pour aller saluer la chapelle de Quelhuit, clin d’oeil à la tradition.

Nous sommes 4 à bord : Marc Maussion, président de l’association des Amis du Biche, Pascal Orvoën, fils de Gérard, bien connu sur le quai des pêcheurs à Groix, Yann Aufret de Damgan, et moi-même, plaisancier invétéré (...)

Alain Bayaert a rappelé que le comité départemental de la Fédération nationale des pêcheurs plaisanciers et sportifs qu’il préside s’était exprimé contre les projets d’extractions de sable entre la barre et Groix.
Le Télégramme 12/04/2007

Le long des côtes du département, les bateaux de pêcheurs et plaisanciers sont régulièrement contrôlés par les gendarmes de la brigade nautique de Quiberon. Papiers, vitesse, matériels de secours, contrôle des pêches... représentent le gros des 450 interventions estivales.
Benjamin KELTZ. Ouest France 19/8/2OO6

N. Métairie, F.Olivier-Coupeau et L. Le Meur ont fait parvenir, hier, une lettre à M Barnier : « Nous pensons qu’il est désormais urgent que l’État et les instances européennes accompagnent et soutiennent financièrement cette volonté collective ».
Le Télégramme 06/11/2007

L. Carriou « Ce sera aux gars de décider ce qu’ils veulent faire. Ou la grève ou repartir en mer si l’aide leur semble juste. » Cette aide pourrait aller « jusqu’à 600 €, voire 800 €, par mois et par marin » embarqué sur « un chalutier travaillant correctement ».
Charles JOSSE. Ouest France 24/05/2008

La flottille de pêche a été en grande partie détruite. Et la vue de ces masses de bateaux, de 8 à 15 mètres, projetés comme fétus de paille et écrasés au milieu d’un fatras de cocotiers et de béton, a beaucoup touché les Lorientais.
Michel Le Hébel Le Télégramme 28/01/2005

Non, ce n’est pas le trésor de Rackham Le Rouge, que Bud remonte à la
surface. Mais en cette fin d’après-midi ensoleillée au pied des falaises de
Groix, ça le vaut bien.
Car cette boule rougeâtre couverte de mousse, il a
fallu qu’il aille la chercher à plusieurs mètres de profondeur et sans
scaphandre ni sous-marin en forme de requin ou autre. Comme toute chasse
sous-marine, la pratique de la pêche à l’araignée n’est autorisée qu’en
apnée, à la seule force des palmes.
(...)
© Le (…)

Dans le cadre des Mardis de La Thalassa, une rencontre sur le thème « Qui décide des quotas de pêche ? » aura lieu aujourd’hui à 18 h 30.Renseignements au CCSTI, Maison de la mer, tél. 02.97.84.87.37. Entrée libre.
Le Télégramme 17/04/2007